DECOUVREZ AUJOURD'HUI LA VIDEO DU VISAGE DU TUEUR
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En tournée à travers les Etats-Unis, le président John Fitzgerald Kennedy est abattu par trois coups de feu alors qu'il traversait le centre ville de Dallas dans une cadillac décapotable. Transporté en urgences à l'hôpital le président mourra 30 minutes plus tard. Le gouverneur du Texas, John Connaly, présent dans la voiture officielle est grièvement blessé. Mais il sortira indemne du Parkland Memorial Hospital de Dallas. Agé de 46 ans JFK n'aura gouverné que trois ans. Les circonstances et le mobile de son assassinat sont restés obscurs.
JFK assassiné
Le 22 novembre 1963, à 12 h 30, à Dallas, si l’on en croit la Commission Warren, l’agitateur communiste Lee Harvey Oswald tire trois coups de fusil en direction de John F. Kennedy, président des États Unis qui passe dans sa limousine officielle. Deux manquent la cible, la troisième est une « balle magique ». Elle entre sous l’omoplate droit du président, zigzague, ressort au niveau de la pomme d’Adam, frappe le gouverneur Conally sous l’aisselle, lui brise une côte, fracasse son poignet et finit par le blesser à la cuisse avant de tomber hors du véhicule. Une demi-heure plus tard, Kennedy est déclaré mort à l’hôpital Parkland Memorial. À 14 h 38, le vice-président Lyndon Johnson est investi président à bord de l’avion présidentiel, Air Force One. La mère de toutes les rumeurs vient de naître...
Hé oui , la version officielle de l'assassinat on y croit tous. Lee oswald, c'est un sale méchant.
La commission Warren est une grosse mystification que seul l'être humain de base est capable de croire. Suite au procès de Clay Show (voir le film JFK) par le juge Jim Garrison, il a été dit pour la première fois par une cour fédérale des états unis qu'il y avait assez d'éléments dans le dossier pour prouver qu'il s'agissait d'un complot......Aucune suite. Trop de têtes tomberaient.
LA VERITE 
Le Grassy Knoll désigne le monticule herbeux de Dealey Plaza situé sur le côté droit d'Elm Street. Surmonté d'une palissade en bois qui le sépare d'un parking, ce terre-plein fut désigné par des dizaines de témoins du drame comme le lieu d'origine d'au moins un coup de feu lors de l'assassinat du président John Kennedy le 22 Novembre 1963. A la fin des années 70, une commission de la Chambre des Représentants, le House Select Committee on Assassinations (HSCA), conclue à la présence probable d'un tireur derrière la barrière du Grassy Knoll en se fondant notamment sur un enregistrement accoustique de la fusillade réalisé involontairement par un motard de l'escorte. Cette conclusion vient s'ajouter aux nombreux témoignages, photographies et premières conclusions des médecins de Dallas suggérant la présence d'un tireur.
Il faudra attendre pres de vingt ans avant qu'une analyse minutieuse ne soit effectué par deux chercheurs indépendants texans. Gary Mack et Jack White vont se baser sur les récits des témoins pour tenter de mettre à jour la présence d'un ou de plusieurs hommes derrière la barrière. Ce travail rendu difficile par la présence d'une végétation dense et l'éloignement de la zone à étudier se révelera finalement payant.
Après aggrandissements, les deux chercheurs vont découvrir ce qui n'est autre qu'une silhouette humaine en appui contre la pallissade en bois.On distingue clairement le début du cuir chevelu, les yeux, l'oreille et les joues tandis que le cou est masqué par un flash.Cet homme dont la posture est similaire à un homme en position de tir contre la barrière porte un uniforme foncé et on peut observer un badge sur son épaule gauche d'où le nom de "Badge man". Cet accoutrement rappelle étrangement celui des membres de la police de Dallas ce qui n'est guère étrange lorsqu'on s'interresse aux nombreux témoignages de personnes ayant remarqué des personnes portant des uniformes de policiers en haut du Grassy Knoll avant et après la fusillade.Pourtant le rapport officiel du Dallas Police Department ne place aucun agent à cet endroit. Pour s'assurer de la véracité de leur découverte, Mack et White se rendront au célèbre MIT (Massachussets Institute of Technology)de Boston où le cliché sera analysé grace à un matériel ultra-performant que ne possédaient pas les deux texans. La conclusion des experts sera similaire:
il y avait bien un homme muni d'un fusil derrière la barrière du monticule herbeux. Et il n'y avait pas qu'un homme. Le film de Zapruder a été amputé de ses 3 dernières secondes par le FBI. Les secondes les plus précieuses, car en fait, on peut voir très nettement la silhouette de l'un des tireurs.
Voici enfin le film d'Abraham Zapruder dans toute son intégralité, pour vous, amis de Chmi.
